Notre impact au Bas-Saint-Laurent
En 2025, Centraide investit 1 151 054 $ pour bâtir des communautés plus fortes.

Faits saillants du territoire
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203 942 habitant·e·s
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37,9 % des ménages non familiaux comptent une seule personne
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7 300 familles monoparentales
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Augmentation de 13,5 % des personnes présentant une prévalence de troubles mentaux
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La grandeur du territoire nécessite des moyens de transport plus importants pour améliorer l’accessibilité aux services et aux pôles d’emploi.
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La pénurie de logements dans la région ne s’essouffle pas et les prix augmentent significativement. À Rivière-du-Loup, le prix moyen des loyers a subi une hausse de 12,7 % en 2024 comparativement à 2023.1 Il est démontré qu’une personne qui ne peut plus joindre les deux bouts éprouve un stress important et soutenu, ce qui a un impact important sur sa santé physique et mentale.
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L’accès limité aux services et l’isolement social et géographique entraînent la détérioration de la santé mentale de la population, une situation de plus en plus préoccupante. Dans ce contexte, il importe d’agir tôt et les familles ont besoin de soutien.
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La Maison de la famille des Basques a soutenu 21 familles l’an dernier grâce à son service d’aide-parent. Les intervenantes ont créé des liens significatifs avec les familles qu’elles ont rencontrées lors de 206 visites à domicile.
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La population rurale représente 47,9 % des personnes vivant au Bas-Saint-Laurent.2
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Les secteurs plus éloignés des pôles régionaux que sont Rimouski et Rivière-du-Loup ont des indices de défavorisation matérielle et sociale particulièrement élevés. Les deux pôles régionaux comptent des personnes vivant dans la pauvreté qui deviennent parfois invisibles vu la situation économique du secteur.
Proportion de la population vivant en milieu rural (%)2
Des initiatives inspirantes sur le territoire
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Assurer l'essentiel
Moisson Kamouraska a distribué 334 434 kilos de denrées l’an dernier, pour une valeur marchande de plus de 3 M$. L’organisme est également fiduciaire du programme des cuisines volantes, une véritable réussite avec 175 ateliers culinaires effectués. L’organisme se démarque également par sa capacité d’adaptation en offrant une réponse adaptée aux besoins alimentaires de personnes nouvellement arrivées et d’étudiant·e·s de l’international.
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Prévention paternelle
L’organisme C-TA-C reçoit annuellement plus de 400 nouvelles demandes d’aide. Malgré l’incendie de ses locaux en 2024, qui a grandement éprouvé l’organisme, l’équipe continue d’innover et a mis en place un comité de travail dédié à la création d’une démarche de groupe autour de l’enjeu de la paternité, dans une perspective de prévention de la violence familiale. Le groupe PAPA, né de ce comité, s’annonce comme une avenue prometteuse pour prévenir la violence chez les pères.
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Retour de service
Le Centre d’action bénévole de la Vallée de La Matapédia a remis en place une clinique d’impôt. Celle-ci n’avait pas eu lieu depuis plusieurs années dans la MRC. Ceci a créé une nouvelle offre de bénévolat et l’organisme a répondu à un besoin des personnes vulnérables financièrement.